RETROUVER CETTE IMPLACABLE ENVIE

          D'AVOIR ENVIE D'ETRE EN VIE... !!!    

Si une personne est assez forte pour te briser,

montre-lui que tu es assez forte pour te relever…

 Avant de me juger, va vivre tout ce que j'ai vécu et relève-toi,

et après - peut-être - tu pourras me juger... 

Ceux qui te jalousent sont ceux qui te voudraient différent,

car ils voient en toi ce qu'eux, ne seront jamais !

Alors, n'accorde pas d'importance à la personne qui te critique, 

car prisonnière de sa propre jalousie, elle ne fait que t'admirer !

Heureux celui qui peut donner un peu de lui  

pour soulager ou enlever la douleur … 

Si tous les gens qui disent du mal de moi
Savaient ce que je pense d'eux
Ils en diraient, ils en diraient, ils en diraient bien davantage

Ah, vraiment
Y a pas d' pays où il s'en passe tant
Que sur cette pauvre terre

Sur dix personnes qui parlent de nous
Neuf disent du mal, du mal et souvent
La seule personne, la seule personne qui dit du bien
Eh bien… le dit mal

On a beau dire beaucoup de bien sur nous
Nous en pensons encore davantage
Nous en pensons, nous en pensons, nous en pensons bien davantage

Car pour faire son chemin sur la terre
Faut l'honnêteté et l'habileté
L'honnêteté pour tenir ses engagements
L'habileté pour jamais en prendre

On fait toujours un grand plaisir aux gens
En leur rendant, en leur rendant visite
Si ce n'est en arrivant, tout au moins bien sûr en partant (Julos Beaucarne)

 Ce que pensent les autres de toi,

c’est leur réalité, pas la tienne...

Hâte-toi de bien vivre et songe que chaque jour est à lui seul une vie.  (Sénèque)  

Quand j'étais petit, ma mère m'a dit que le bonheur était la clé de la vie.

A l'école, quand on m'a demandé d'écrire ce que je voulais être plustard, j'ai répondu "heureux".

Ils m'ont dit que je n'ai pas compris la  question, je leur ai répondu qu'ils n'avaient pas compris la vie. (John Lennon)

La seule révolution possible, c'est d'essayer de s'améliorer soi-même, en espérant que les autres fassent la même démarche.

Le monde ira mieux alors. (Georges Brassens)

Le plaisir se ramasse, la joie se cueille et le bonheur se cultive (Bouddha)

Ce n'est pas un hasard, si vous visitez ce profil car dans l'Ici et maintenant tout a une raison d'être...

Il est possible que la vie place beaucoup de gens sur notre route afin que le jour où l'on rencontre les bonnes personnes, nous puissions les reconnaître et les apprécier.

Une nuit de 1975 la femme du poète et chanteur Julos Beaucarne, la mère de ses deux enfants, est assassinée. Voici la lettre qu’il a écrite, une lettre qu’il adressait à nous tous.

Mes amis,
Ma loulou est partie pour le pays de l’envers du décor.

Un homme lui a donné neuf coups de poignards dans sa peau douce. C’est la société qui est malade.

Il nous faut la remettre d’aplomb et d’équerre, par l’amour, et l’amitié, et la persuasion.
C’est l’histoire de mon petit amour à moi, arrêté sur le seuil de ses 33 ans.

Ne perdons pas courage, ni vous ni moi, je vais continuer ma vie et mes voyages avec ce poids à porter en plus et mes 2 chéris qui lui ressemblent.

Sans vous commander, je vous demande d’aimer plus que jamais ceux qui vous sont proches.

Le monde est une triste boutique, les cœurs purs doivent se mettre ensemble pour l’embellir, il faut reboiser l’âme humaine.

Je resterai sur le pont, je resterai un jardinier, je cultiverai mes plantes de langage.

A travers mes dires, vous retrouverez ma bien-aimée ; il n’est de vrai que l’amitié et l’amour.

Je suis maintenant très loin au fond du panier des tristesses.

On doit manger chacun, dit-on, un sac de charbon pour aller en paradis.

Ah ! Comme j’aimerais qu’il y ait un paradis, comme ce serait doux les retrouvailles.
En attendant, à vous autres, mes amis de l’ici-bas, face à ce qui m’arrive, je prends la liberté, moi qui ne suis qu’un histrion, qu’un batteur de planches, qu’un comédien qui fait du rêve avec du vent, je prends la liberté de vous écrire pour vous dire ce à quoi je pense aujourd’hui : Je pense de toutes mes forces qu’il faut s’aimer à tort et à travers ».  (Julos Beaucarne)

 A méditer...

Adieu le poète; tu as toute la mort pour te reposer