Bonjour à tous !!
Je vous propose d'aller voir le film " UTAMA, la terre oubliée" dans notre beau cinéma "Le Rio", à la séance de 16h30, le mardi 24 mai.
Pourquoi ce film?
Par curiosité... l'envie de découvrir d'autres peuples, de voyager, de comprendre un peu mieux notre vaste monde...
Alors si vous êtes partant pour le dépaysemment, je vous fais profiter de places à 3€.
"UTAMA, la terre oubliée" (1h28) en V.O.
Dans l’immensité des hauts plateaux boliviens, Virginio et Sisa veillent sur leur troupeau de lamas. Jusqu’ici, rien n’a pu les détourner de cette vie âpre, héritée des traditions : ni leur âge avancé, ni le départ des habitants de la région, chassés par la sécheresse. Aussi accueillent-ils avec méfiance la visite de Clever, leur petit-fils de 19 ans, venu les convaincre de s’installer en ville avec le reste de la famille. Réticent à l’idée de quitter sa terre, Virginio se montre inflexible. A tel point que le jour où il tombe gravement malade, il décide de le cacher à Sisa et Clever…
Pour voir les sorties au ciné Le Rio PASSÉES et/ou À VENIR
cliquez sur le mot correspondant
(Merci à Filip63 pour cette astuce afin de soutenir les sorties au Rio)
Pourquoi des sorties ciné à la Viouze ou au Rio ?
Dans le but de soutenir les cinémas indépendants qui proposent des films, des documentaires ou encore des ciné-débats, que vous ne trouverez jamais dans des multiplex, je privilégie uniquement ces 2 cinés.
Et en plus les tarifs sont imbattables, que demander de plus…
Fin du discours censuré de Mathieu Amalric (qui avait obtenu le César) lu par Antoine de Caunes au Césars 2008.
" Mais la salle de cinéma. Oui, la SALLE de cinéma, elle, doit pouvoir continuer à s’inventer.
Insupportable « trompe l’œil » des multiplexes. Les chiffres comme seule ligne d’horizon. Aveuglement, brouillage, gavage, lavage. Et quelle solitude. Vous avez déjà parlé à quelqu’un dans un multiplexe ? Pas moi. D’ailleurs c’est impossible, ce qui compte c’est le flux. « Circulez s’il vous plaît, y’a rien à voir » . Au suivant ! bande de Brel.
Alors que le travail souterrain, patient, divers, dédié au public, aux écoles, aux rencontres que font et on envie de faire tellement d’exploitants de salle se voit de plus en plus nié aujourd’hui.
La Question humaine n’aurait par exemple jamais fait autant d’entrées sans le travail de curiosité des exploitants de province et de l’ACRIF.
Ce tissu de salles, que le monde entier nous envie, est notre cœur, nos poumons.
Sinon…
Sinon on va tous finir devant nos « home cinéma » à se tripoter la nouille…
Bons baisers de Panama…
Mathieu "